dimanche 22 mars 2009

J'ai un peu trop abusé de la Heineken hier soir...


... du coup j'ai mal à mes implants blonds et mon bulbe rachidien m'interdit la moindre velléité de rédaction d'une note, fût-elle de deux lignes...

Mais pourquoi le clavier bouge-t-il ?

Bon... je vais tenter de ramper vers mon lit...

(la suite n'est pas traduisible)

3 commentaires:

  1. "(la suite n'est pas traduisible)".
    Elle le reconnaît enfin, elle doit traduire ses propos blonds afin qu'ils soient compréhensibles aux autres, les normaux.
    Je m'disais, aussi, que lorsqu'on soliloque après une absorption massive de malt fermenté, aux points de suspension s'ajoutent les imprécisions grammaticales, les néologismes, les apocopes, les interjections et autres borborygmes disgracieux. Las ! que nenni, La belle s'évertue à écrire propre, voila pourquoi la blondeur surprend, effraie, il y a quelque chose d'artificiel et de différent dans tout cela.
    Mais le plus surprenant, c'est que délaissant le piquant, le subversif, l'épineux, le caustique, la demoiselle s'emploie, au crépuscule d'une soirée arrosée, a discourir en termes... sobres.

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  2. Bon...

    Bin...

    Pour ma part, j'ai réussi à atteindre le lit.
    C'était celui de la rivière, et je me retrouve à l'embouchure.

    Cela aurait du être l'estuaire de la Gironde, mais, appellation oblige, ce fut dans le delta du Côte du Rhône...

    A notre gueule de bois, Christina.

    Ferlin.

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  3. @ Anonyme : Joli texte ! J'aime ! La sobriété de mon ébriété n'aura de cesse de m'étonner. Je dois avoir du sang polonais caché quelque part...

    @ Ferlin : Ce sont parfois aussi de jolis voyages ! pas toujours, mais parfois...
    Dimanche sous le signe de l'eau ferrugineuse...

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