Christophe (permets-moi te t'appeler par ton prénom), t'es qu'un putain de génie ! Avoir commis un tel album, tu t'rends pas compte de ce que t'as fait. Toute cette jouissance intime. Tous ces voyages. Ces terres inconnues. Et puis c'te chanson de ouf : "Parle-moi de lui" ! Une déchirure de l'âme, comme on en rêve. Sentir son âme exister, que rêver de plus ? Même s'il faut la déchirer un peu pour que notre esprit embrumé puisse la sentir. Tiens, je m'autorise à mettre les paroles de ta tuerie :
"Elle est là, debout
Sur mes paupières
Et elle danse toujours
Poupée de verre
Je deviens fou
A creuser dans les nuits
J'ai toujours ces rêves
D'infini
Je regarde le ciel
Les mains tendues vers Toi
Mon Dieu, si elle T'appelle
Parle-lui de moi
L'infini, je sais
C'est presque rien
Et ça se finit
Au p'tit matin
Mais l'infini, tu sais
C'est déjà bien
C'est toute la nuit
Et puis plus rien"
Et voici l'objet de tout mon transport : 6'26" de pur bonheur !
Merci Monsieur Christophe.
Je ne te connais pas (en vrai), mais, 'tain, tu as bon goût!
RépondreSupprimerMoi aussi, je dis merci MONSIEUR CHRISTOPHE!
http://www.mandor.fr/archive/2008/06/17/une-nuit-a-l-hotel-costes.html
et
http://www.mandor.fr/archive/2008/07/01/christophe-legende-vivante.html
Entre Hacène qui habite près de mon océan chéri, Mandor qui dine avec des Cadors et sans oublier Anti, ma soeur jumelle (et tous les autres qui sont venus et qui viendront), je ne peux que dire que je suis entourée de lecteurs de qualité. Le paradoxe sémantique étant qu'ils soient vraiment vernis sans présenter la moindre trace de vernis sur leurs belles personnalités.
RépondreSupprimerP'tain... l'autre... il a diné avec Christophe... m'a même pas appelée...
;-)