Milan Kundera a écrit cette phrase dans son roman "L'immortalité" : "Je pense donc je suis" est un propos d'intellectuel qui sous-estime les maux de dents.
Quelques siècles auparavant, l'immense William Shakespeare avait écrit ceci dans sa comédie romantique "Beaucoup de bruit pour rien" : "Il n'y a pas de philosophe qui supporte avec sérénité une rage de dents."
Damoiselle Christina demeure donc digne et décente dans son drôle et dérisoire désarroi dentaire et décide, découragée, déconfite, dépitée et déficiente, de se débiner délibérément en vous donnant date pour un demain débile et débridé ! Nul dédain dedans, juste des douleurs dentaires démesurées, déprimantes, désagréables, déplaisantes et diaboliquement douloureuses...
Dans des détestables douleurs dentaires, dur dur d'être drôle dites donc !
Dent pis...
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Ton récit est tout simplement...Dantesque !
RépondreSupprimerCourage Miss, ce chiendent ne poussera plus bien longtemps et rassure toi ton humour reviendra à dent...
NB : j'irais brulé un cierge pour toi le 05
Courage !
RépondreSupprimerPour toi la rage de dents, pour d'autre la rage dedans. Chacun sa croix petite.
RépondreSupprimeranti
Courage, Christina, céphalées carapateront calmement. Convergence collatérale.
RépondreSupprimer@ Psychomarc : Dantesque !!! MDR !!!! Merci pour le cierge. Je ne veux pas de fleurs pour mes funérailles...
RépondreSupprimer@ Anonyme : Merci ! Il doit m'en rester un peu, mais je ne sais plus où je l'ai foutu...
@ anti : Je ne sais pas vraiment laquelle des deux m'est le moins insupportable... allez, choisissons la rage de dents !
@ ramses : Tous ces mots compliqués me donnent mal à la tête...
;)