samedi 7 mars 2009

Ils disent n'importe quoi ces journalistes !

Ne croyez pas tout ce qui est dit et écrit ! N'ayez de cesse de faire fonctionner votre décodeur personnel ! Sans déconner.

Allez, comme c'est le week-end, tournée générale :

Oui, je sais... je suis en rupture de stock de rhum... désolée pour les "cuba libre" !

Edit : pour répondre au commentaire de Christophe :

15 commentaires:

  1. En même temps, quand Mélissa me regarde comme ça, je la crois sur parole... rhaaaaa.....

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  2. @ Pierre : Ce n'est pas parce que Mélissa métisse d'Ibiza a des seins tout pointus qu'il faut la croire !!! Ou alors il faut fermer les yeux...
    :)

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  3. On mange quoi après ?

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  4. @ Christophe : Quelle mauvaise maitresse de maison, je suis ! Je ne sais pas si tu en as, mais je te propose des tablettes de chocolat !
    :)

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  5. Si le fait d'avoir les dents écartées est signe de bonheur, le(a) gourmand(e)qui a croqué le chocolat doit être sacrément heureux (se).

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  6. @ yscn : Yannick Noah et Laurent Voulzy sont passés faire un boeuf à la maison... puis ils ont eu une 'tite faim ! C'est tombé sur la tablette...
    ;)

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  7. J'ignorais le lieu ou poster ce message en réponse a votre Blog-it express, alors je me permet de l'insérer dans cet article intitulé "ils disent n'importe quoi ces journalistes".

    On nous bassine depuis des lustres sur les déclarations du pape mais depuis que Benoit XVI dirige l'église catholique on a atteint le pompom ! Les attaques des journalistes fusent de toute part ces derniers temps et ils lui lancent l'anatheme qui est fidelement relayé par tous les beotiens de la Terre.

    Deja regle numero 1 : Quand on condamne quelqu'un ou quelque chose, il faut être deux fois plus prudent car il y a surement quelque chose de pas net dessous et il faut essayer de comprendre la position de toutes les parties.

    Vous écrivez : "Une grosse bulle pour le Pape". Soit. Mais ce qu'il faut savoir c'est que les journalistes possedent l'art ultime de manipuler, couper et lancer avec force des campagne de désinformation en jouant notamment sur les sophismes ambiant.

    Laissez moi exposer un peu plus en détail le fin fond de cette affaire. Commencons par citer l'ensemble de sa déclaration et non seule la petite phrase assassine :


    Question - Votre Sainteté, parmi les nombreux maux qui affligent l'Afrique, il y a également en particulier celui de la diffusion du sida. La position de l'Eglise catholique sur la façon de lutter contre celui-ci est souvent considérée comme n'étant pas réaliste et efficace. Affronterez-vous ce thème au cours du voyage ?


    Benoit XVI : Je dirais le contraire : je pense que la réalité la plus efficace, la plus présente sur le front de la lutte contre le sida est précisément l’Eglise catholique, avec ses mouvements, avec ses différentes réalités. Je pense à la Communauté de Sant’Egidio qui accomplit tant, de manière visible et aussi invisible, pour la lutte contre le sida, aux Camilliens, à toutes les religieuses qui sont à la disposition des malades... Je dirais qu’on ne peut pas surmonter ce problème du sida uniquement avec des slogans publicitaires. Si on n’y met pas l’âme (ndlr chasteté, fidélité et abstinence), si on n’aide pas les Africains, on ne peut pas résoudre ce fléau par la distribution de préservatifs : au contraire, le risque est d’augmenter le problème. La solution ne peut se trouver que dans un double engagement : le premier, une humanisation de la sexualité, c’est-à-dire un renouveau spirituel et humain qui apporte avec soi une nouvelle manière de se comporter l’un avec l’autre (ndlr chasteté, fidélité et abstinence), et le deuxième, une véritable amitié également et surtout pour les personnes qui souffrent, la disponibilité, même au prix de sacrifices, de renoncements personnels, à être proches de ceux qui souffrent. Tels sont les facteurs qui aident et qui conduisent à des progrès visibles. Je dirais donc cette double force de renouveler l’homme intérieurement, de donner une force spirituelle et humaine pour un juste comportement à l’égard de son propre corps et de celui de l’autre, et cette capacité de souffrir avec ceux qui souffrent, de rester présents dans les situations d’épreuve. Il me semble que c’est la juste réponse, et c’est ce que fait l’Eglise, offrant ainsi une contribution très grande et importante. Nous remercions tous ceux qui le font.
    Fin du discours.


    Je pense que vous avez compris la position du pape maintenant que la phrase est réintegrée dans son contexte. Le pape, selon sa foi et ses valeurs, milite contre le preservatif, car selon lui, il symbolise le fait que tout le monde peut copuler avec tout le monde se sentant necessairement immunisé, et l'amour devient ainsi un objet de consommation comme un autre et le partenaire interchangeable.

    Ce qu'il désire c'est surtout le fait que les gens cessent de se comporter en animal reproducteur en "tirant" sur tout ce qui bouge et apprennent l'abstinence (jusqu'au mariage), la fidélité .. et ce, pour toute la société. Cela aurait ainsi davantage d'effet qu'une distribution ponctuelle de préservatifs dont l'usage est incertain et qui est le symbole phallique de la décadence moderne de notre societé et dont le message signifie : prenez ceci et "copulez un max".

    Les journalistes n'hésitent pas a omettre toutes ces informations puisque le pape représente un "champion" comme aux temps anciens, qui lutte (seul) contre la société marchande déshumanisante actuelle. (Et surtout celui-ci)

    j'espere que votre jugement sur ce brave homme sera légerement moins négatif dorénavent et si vous avez des contre arguments je suis prêt a vous ecouter.

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  8. Nb : Apres relecture, pardonnez mes fautes d'orthographes et je precise que c'est la position du pape et c'est bien sur, en ces temps, totalement utopique mais c'est bien son rôle d'eglise de les tenir ...

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  9. @ Louis : J'ai bien compris la position du Pape et celle de l'Eglise qu'il représente. Vous avez raison de dire que ses propos sont cohérent par rapport au message de l'Eglise qui prône les valeurs de la fidélité. Le but de l'Eglise est d'amener les brebis égarées sur le droit chemin en passant par le chemin du développement spirituel. Il n'y a pas grand chose à redire de ce côté-là.

    Il n'empêche que la réalité de la situation actuelle est toute autre. La fidélité est devenue - hélas certes - une valeur désuette. La société a évolué vers une sacralisation de la liberté sexuelle qui aboutit à toutes les turpitudes et à ces comportements qui ont largement facilité la propagation du sida. Les hommes avaient plusieurs partenaires sexuels avant le sida, mais les conséquences étaient moins visibles. Aujourd'hui, elles sont visibles et on appelle cela des cercueils.

    A partir de là, que faire ? Interdire aux hommes l'infidélité ? Je ne veux pas être prétentieuse, mais je suis certaine que cela ne marchera pas dans les proportions suffisantes. Les hommes continueront à pratiquer leurs relations plurielles. Si tel est la cas, faut-il leur dire que le port du préservatif n'est pas souhaitable ? Je n'en suis pas certaine. C'est les condamner.

    L'homme n'est pas suffisamment développé spirituellement pour assumer et pleinement intégrer les valeurs de la fidélité. L'homme est faible. Le sida s'est engouffré dans la brèche de cette faiblesse et cause les dégâts qu'on connait.

    Alors, que faire sachant que les hommes vont probablement continuer leurs turpitudes ? Le port du préservatif me semble un pis-aller certes, mais une solution palliative en attendant et en espérant un renouveau spirituel de notre civilisation.

    Il faut aussi entendre les témoignages d'ong qui sont allées voir les dégâts en Afrique ou ailleurs. Là-bas, il n'est pas question de réflexion théologique ou spirituelles : les malades crèvent !

    Pour conclure, je rêve moi aussi d'une société basée sur des valeurs spirituelles (pas forcément religieuses) mais je vois aussi la réalité. Souvenons-nous des positions de Soeur Emmanuelle et de l'Abbé Pierre sur ce sujet... eux, ils ont vu l'enfer les yeux dans les yeux...

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  10. Je ne pense pas que le pape interdise stricto-sensu le préservatif, il sait bien que c'est un moindre mal même si ce moyen est incapable de résoudre le probleme et c'est bien ce qu'il dit dans ce discours. Son message est davantage centré sur sa volonté de trouver un remede pour essayer d'enrayer totalement ce fleau.

    En ce qui concerne la population, elle est bien différente de celle de l'Europe. Elle est beaucoup plus religieuse et sensible au message du pape où 1/4 des structures accueillant les malades sont catholiques et de nombreuses fraternités sont au contact des gens.
    De plus, la population est tres sensibilisée depuis des années au probleme du sida et le message est martelé dans les consciences depuis la marternelle chez eux a savoir que le désordre sexuel est un facteur de risque.

    Il est réiteré continuellement, par les institutions catholiques et politiques, dans les consciences et tout ceci pour la survie de leur peuple. J'entendais un truc effrayant la semaine derniere sur un pays d'Afrique, je ne sais plus lequel, où plus de 50 % de la population etait atteinte du virus ... La situation est grave et a situation exceptionnelle, remede exceptionnel.

    Je pense que le pape joue beaucoup sur cette carte qui doit parler aux gens mais il faut savoir aussi que cette histoire du preservatif qui fait tant de bruit ici, interresse peu en ces contrees : ils ont d'autres chats a fouetter.

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  11. @ Louis : Là où je te rejoins pleinement, c'est que le monde manque cruellement de spiritualité. Le problème est que pas mal de gens mélangent spiritualité, religions et sectes. Un méli-mélo qui a pour effet d'effrayer et de repousser l'intérêt pour cette nourriture de l'esprit dont nous avons tous besoin, en conscience ou non. Il faudrait que les leaders des principales religions soient capables de "dépasser" dans leurs messages le strict cadre de leur "chapelle" et de porter des messages d'amour universels et non exclusifs. Ils n'ont pas à raisonner en terme de progression de parts de marché... Laissons cela aux marchands du temple qui sont déjà suffisamment nombreux...

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  12. Vous savez fort bien, tout comme moi, que votre souhait est totalement irréalisable et ceci pour la simple raison du respect du dogme induit par chacune des principales religions. Cette vision releve plus d'un syncrétisme que d'autre chose..

    La seule religion qui tente de pratiquer un certain oeucumenisme est la religion catholique et ceci seulement depuis 1962 avec Vatican II. Le catholiscisme selon cette nouvelle definition s'adapte a l'homme et aux moeurs actuels en désacralisant les rites, en pratiquant donc cet oecumenisme, l'indifference religieuse (du moment que vous suivez une spiritualité vous irez au paradis) ce qui fut magnifiquement illustré avec Jean-Paul II comme symbole phare de cette évolution avec notamment des gestes forts qu'il a pratiqué comme embrasser le Coran ou mettre "l'oeil" hindou sur son front ce qui est le signe d'allegence a shiva, le dieu de la destruction. Je ne connais aucun autre responsable religieux qui n'en ait fait autant.

    Mais voyez-vous, la question que je me pose est : qu'est ce être catholique de nos jours ?

    Je discute de temps a autres avec des personnes revendiquant cette appartenance religieuse et je suis toujours aussi étonné par le peu de connaissances qu'ils ont, de leurs propres traditions, de leur sens religieux et même (ce qui est lie) de leur foi.

    Cause ? Eh bien a mon humble avis, le probleme provient de l'église elle-même. Ce concile PASTORAL qui avait pour but "officiel" de remplir les eglises a eu l'effet inverse en retirant tout son "mystere" si vous saisissez bien le sens que revêt ce mot. L'enseignement au catéchisme, de nos jours, est fractionné et est tres insuffisant. En ce qui concerne les messes, j'ignore ce qu'il peut y avoir d'attirant pour quiconque de non-initié en la voyant et c'est surement pour cela que les évangelistes progressent de plus en plus dans les pays en developpement.

    La langue officielle de l'église a toujours été le latin et le grégorien fut toujours l'expression même de sa liturgie. Aujourd'hui, ces 52% de "catholiques" qui n'aiment pas le pape et qui se revendiquent malgré tout de cette religion n'acceptent pas le principal de son enseignement doctrinal (ou plutot ne le connaissent pas du tout ou n'en ont cure!!!) et adaptent leur pratique de cette religion aux moeurs et a la communication actuelle. Le protestantisme serait plus approprié pour eux.

    J'ai une amie qui vit a la campagne et qui me disait récemment que les gens les plus malhonnetes du village étaient les "catholiques" qui allaient a la messe tous les dimanche, quelle époque...

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  13. @ Louis : Je ne suis pas contre le syncrétisme ! Il est pratiqué dans quelques régions du monde comme au Japon (cohabitation du bouddhisme et du shintoïsme). Ce n'est donc pas une vue de l'esprit. Je comprends que les religions s'arcboutent sur leurs dogmes pour assoir leurs différences. Mais l'excès de dogme est précisément l'une des raisons (pas la seule) qui font fuir bon nombre de pratiquants. Les croyants restent souvent des non-pratiquants et aspirent souvent à vivre leur religion d'une façon plus moderne et plus "spirituelle". D'où le "succès" du bouddhisme. Je suis catholique, pratiquante de temps à autre. Lorsque j'assiste à un office, je suis souvent déçue par le contenu de la messe. Trop d'habitudes qui ne parlent que trop peu aux gens, pas assez de sermons et de délivrance de matière à réflexion. Ce constat est toutefois à nuancer très fortement en fonction du prêtre qui assure la messe.
    L'attente en spiritualité est grande. Il est juste dommage que l'Eglise Catholique soit si rigide. L'important est dans les coeurs. Dans les livres aussi, mais surtout dans les coeurs. Jean-Paul II a lancé des passerelles et débloqué la communication. Il est dommage que son successeur ne soit pas dans cet état d'esprit. Affaire de caractère et de stratégie...

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  14. Justement ! Je vous disais que vous étiez pour le syncrétisme, et ceci, me semble en total inharmonie avec la foi catholique. J'ai la nette impression néanmoins que la sémantique de ce mot me semble différente de vous a moi : tenons-en nous a cette définition :

    Syncrétisme : Fusion de différents cultes ou de doctrines religieuses, tentative de conciliation des différentes croyances en une nouvelle qui en ferait la synthèse.

    Si on suit la logique pour tout catholique, on croit en l'existence de Dieu, les commandements, 1 seul Dieu auquel on se rattache, bref je ne vais pas vous faire le topo, mais vouloir mélanger toutes les religions pour créer une "super-religion" unique pleine d'amour et de joie sur l'ensemble de la planete me semble un non-sens total que la sémantique pourrait qualifier d'héresie. (je ne parle pas du surplus de l'utopie a realiser bien sur!)

    En revanche, vous abordez de nombreux points tres interressants et que j'aimerais développer davantage.

    Le premier d'entre eux concerne l'aspect "non spirituel" de la messe que vous évoquez. J'ignore si vous êtes au courant de l'aspect des messes qui avait lieu avant 1962 mais l'aspect liturgique est sensiblement différent de ce qui se pratiquait depuis 2000 ans ou depuis l'époque de Saint Pie V pour être beaucoup plus précis. Si vous réfutez de nos jours la simple possibilité de vouloir suivre une messe qui a été celebrée durant presque 2000 ans, par nos ancêtres et jusqu'a nos grands-parents .., vous êtes qualifiés d'integriste a la limite même du diabolisme alors qu'il s'agissait de cette forme liturgique qui donnait tout son sens a cette réunion hebdomadaire. Vous pouvez vous en donner une idée puisqu'on la retrouve dans les abbayes, avec le chant grégorien des excellents moines, qui ont choisi le recueillement depuis les matines jusqu'aux complies.

    L'office actuel est tellement en inadéquation avec le vrai sens d'un office que j'éprouve certaines difficultés afin de pouvoir qualifier, en bon terme, son sens "profond" : il est ainsi pour moi évident que l'inculture des catholiques de leur propre religion depuis la période post-conciliaire, les éloignent significativement des églises pour devenir athée, agnostiques ou anticléricaux puisqu'ils n'entendent plus.. La connaissance, et l'explication de texte est surement le viatique nécessaire afin de se faire sa propre opinion sur une religion mais de nos jours, il faut apprendre et trouver par soi-même si vous n'avez aucun autre oeil dans votre entourage et encore plus dans ce domaine qui peut paraître éminament complexe.
    Bref!

    Le second point que je voulais développer par rapport a votre précedent commentaire concerne la personnalité même du pape. Le pape est par définition le gardien du dogme, c'est a dire celui qui, théoriquement, est le gardien et le représentant de la parole de Dieu depuis la création de l'église. En ce sens, que signifie le terme, "la rigidité du Pape", pour un catholique qui est sensé suivre et accepter la parole de Dieu ? (un peu Socratique, je vous l'accorde, mais l'essentiel est la, ne m'en tenez guere responsable). Le pape doit posséder une culture theologique supérieure, je suppose, aux simples "mortels" et surtout ce pape notamment dont la connaissance est impressionnante, mais qui fait face aux "modernistes". (Votre analyse stratégique du Pape me laisse sceptique)

    Cette révolution des mentalités ne date pas d'hier puisque le Pape Saint Pie X prévoyait déja il y a 102 ans la poussée des modernistes au sein de l'église dans son encyclique PASCENDI DOMINICI GREGIS que les courageux pourront lire ici :
    http://www.vatican.va/holy_father/pius_x/encyclicals/documents/hf_p-x_enc_19070908_pascendi-dominici-gregis_fr.html


    Le troisieme point concerne le bouddhisme qui est religion de paix et d'amour ! Eh oui, parce qu'au niveau désinformation, on atteint le pompom si vous me pardonnez l'expression !
    Le bouddhisme venant du chamanisme n'est pas exempt de crimes et ceci est bien loin de sa respectabilité actuelle. En effet, les moines du Tibet utilisaient un régime de servage avec dureté sur l'ensemble de la population en les exploitants avec force et vigueur au nom de leur rang dans la hiérarchie bouddhiste, du moins quand les guerres de religions ne faisaient pas des milliers de morts.

    Le Dalaï-lama, le premier des lamas, fut installé par une armée chinoise qui lui était favorable et ce dernier prit possession de tous les monasteres qui étaient hostile a sa revendication de divinité. Son successeur avait plusieurs maîtresses mais fut assassiné par ses "prêtres". Le bouddhisme dans les siecles qui suivirent n'hésita pas a associer le "zen" a l'épée pour assurer sa domination tout comme le fit toutes les autres religions. Mais que cette religion prenne une part croissante en occident est un vrai piege intellectuel car les pratiques realisées n'étant jamais anodines, le sens réel de leur réalisation me paraît être périlleux pour quiconque est en recherche de sens..

    J'ai peut être été un peu rapide mais je ne désire guere de trop m'étaler sur votre espace.

    Avec déférence,

    Louis

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  15. Oups le lien est mal recopié
    http://www.vatican.va/holy_father/pius_x/encyclicals/documents/
    hf_p-x_enc_19070908_pascendi-dominici-gregis_fr.html

    (coller le h au slash)

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